Un bourgeon d'érémurus (à gauche) et un autre d'allium 'Gladiator' (à droite)
Les érémurus et les aulx commencent tout doucement à se réveiller de leur sommeil hivernal. Avec la quarantaine de sujets d'érémures et les trente alliums plantés l'automne dernier, on peut déjà faire un premier point sur la réussite (ou les échecs) des plantations. Tout d'abord, on peut noter que les bourgeons sortent de terre à la même période que l'année. Ceux plantés sur la géothermie semble avoir un léger retard par rapport aux autres, mais est-ce lié au fait que le sol est refroidi à cet endroit par la pompe à chaleur, ou bien qu'ils aient été plantés l'année dernière alors que les autres sont en place depuis plus d'un an ? Les variétés n'étant pas les mêmes, difficile d'effectuer une comparaison... En tous les cas, le sol rendu plus froid par le captage de la géothermie ne semble pas être une gêne, comme pouvait me le laisser penser l'origine géographique de l'espèce. La météo a par ailleurs été favorable : le froid n'étant pas un problème pour cette espèce, on a pu également compter sur un hiver plutôt sec (janvier surtout). Une seule déception pour le moment : il semble y avoir pas mal de perte parmi les 'Cléopatra'. En grattant un peu la terre, j'ai pu me rendre compte que plusieurs souches avaient complètement pourri. Mais bon, il est encore un peu tôt pour le dire.
Eremurus ruiter hybr.